J'ai retrouvé dans mes archives un article tiré du "progrés", journal connu des gones (pour les non gones, c'est le journal de la région lyonnaise), qui parle de faith no more à l'occasion de leur passage à Lyon en 1997.
Avec le recul des années, c'est hallucinant les conneries que je peux y lire.
Morceaux choisis.
FNM a en effet été l'un des premiers groupes à oser franchir les limites du hard pour renouveler le genre en le mélangeant au funk, à la progressive et au hardcore, puis au grunge
NDLRBruns : c'est clair que d'une, fnm c'est vachement hard, c'est vachement funk, c'est vachement hard-funk... de deux, si FNM avaient été grunge une fois dans leur vie, ça se saurait... ils doivent parler de digging the grave surement...
Mais le groupe devra attendre 93 et l'album "angel dust" pour décrocher son premier Hit "easy"
NDLRBruns : Oui angel dust, c'est en 92 mais c'est pas grave et leur premier hit c'est epic, on t'en veut pas, nullard
A l'exencitricité de Mike qui imprègne aussi bien le fond que la forme, correspond une musique de plus en plus kitsch et imprévisible qui se joue du rythme, se complait dans les breaks déstructurant comme dans les ruptures de climats
NDLRBruns : Oui AOTY c'est complètement kitsch, la trip hop en 97 c'était dans l'air du temps mais bon.... passons. Le mec confond musique et météo en plus.
On parle ici du sixième et dernier album studio du groupe qui ne mérite peut-être pas tout à fait son titre provocant
NDLRBruns : Mon cher B.Thomas, toi qui te complais dans la médiocrité depuis le début de cet article raté (mais venant de toi, pouvait-on s'attendre à mieux? ), si le dernier album ne mérite pas son titre, tu mérites encore moins ton titre de journaliste musical, car quand on sort autant de conneries en 2 mini colonnes salissantes, on ne peut pas se permettre de porter un jugement sur quoi que ce soit. Revise tes classiques et va écrire sur la star-ac, c'est de ton ressort.