Il est vrai que Astronome fait preuve de plus de cohésion en toute logique entre les 3 protagonistes. Le jeu de basse est plus débridé. Il n'est pas que porté sur la saturation, style les passages jazz bien speedés. Patton nous apporte quelques trouvailles de plus (interessant notament les voix passées à l'envers, les onomatopées d'animal en détresse). Baron détruit à nouveau. Difficile encore de distinguer les parties composées des parties improvisées. Le concept de Zorn est encore suffisament élaboré: l'artwork explique les différentes pièces de cet opéra mais je travaille encore à faire le lien avec la musique.
J'espère que cette dernière se débridera encore plus avec le prochain projet à paraitre en 2007. Il devrait pousser les choses encore plus loin.